Si tu veux jouer, ne perd pas!

Chapitre 1 : Introduction au cauchemar


Les mains ensanglantées, le visage tendu, les yeux écarquillés, il regardait son chef d’œuvre.
Fasciné par son travail, il recula satisfait, rassasié, mais quelque chose voulait qu’il continue, une envie insatiable de mutiler, d’estropier. Il regarda le visage de la fille déchiqueté, il pensait "cette beauté ! Où peut on la trouver ? Elle n’est digne que d’un véritable artiste comme moi !" Non par égocentrisme le pensait-il. Il leva la main d’un geste bref et cria : « La mort ! La mort ! » . Oui c’était cela, c’était la mort qui l’envoûtait. Le cadavre de la fille était pendu par ses cheveux, son visage ressemblait plus une citrouille d’Halloween, il lui avait enlevé les yeux "les yeux sont mes ennemis ils ne font que montrer la vérité et la vérité n’existe pas !" Il lui avait coupé la langue et l’avait accrochée sur son front "comme ça si tu parles personne d’autre que toi n’entendra". La pauvre fille a été calcinée jusqu'au cou après avoir été vidée de tout son sang.
Et dans l’obscurité de la nuit son rire retenti tel des cris de vipères. Le sang était son trophée, il alla ranger ses instruments après les avoir stérilisé. Il regarda avec un sentiment malsain d’émerveillement les corps des autres victimes « Mon dieu que c’est beau ! ».
Le plus étrange était qu’il pensait parler aux victimes. IL pensait ? Et si c’était vrai ? Après tout qui sait ?
Sortant de sa demeure, il se dirigea vers le Parc de Main Road, « là il y a toujours du gibier ! ». La nuit était très sombre, terriblement sombre, « délicieusement sombre ».
Sa vie ne dépend que de ça, tuer pour vivre et vivre pour tuer. Sa seule raison d’être, son seul désir. Ses yeux s’exorbitèrent en regardant la jeune fille dans le cimetière de la ville, deux rue avant le parc. Cette fille était très jeune et se promenait seule, la nuit dans un cimetière ! « Mon dieu elle parait une bien jolie toile pour mon nouveau tableau ! ». Il s’avança doucement et fut pris d’une grande surprise lorsqu’il découvrit ce que faisait la fille.
La fille était assise auprès d’un cadavre qu’elle venait d’exhumer. Son regard brillait non par innocence infantile mais bien au contraire. Elle regardait le corps, sans la moindre frayeur sur le visage. «Étrange mais attirant». Elle se pencha sur le défunt et commença à lui chuchoter « Dites moi Mr, pourquoi êtes vous resté 82 ans dans cette vie ? Elle vous plaisait à ce point ? »
Puis elle se releva, pris un air plus sérieux, comme si elle devenait adulte et dit « Ce n’est pas moi qui ai choisi, c’est la vie qui ne m’a pas laissé m’en aller. À chaque fois que je tombais malade elle m’envoyait un médecin pour me guérir. Mais je m’en suis bien sorti maintenant ! Et je suis mort malgré elle ! »
Quand il s’approcha d’elle, il remarqua que son regard était vide et son visage n’avait aucun trait, aucune expression. Il essaya de lui tenir la main mais elle disparut comme si elle n’avait jamais existé.
Il se figea pendant un bref instant où il tenta de comprendre mais il perdit ses repères. Le rêve, la réalité, les deux ne faisaient plus qu’un et il ne pu distinguer l’un de l’autre. Il sentit une flemme lui brûler les entrailles, ses intestins se nouèrent. Il ferma les yeux. Les yeux qu’il haïssait. Ces yeux sensés montrer la réalité. Ce n’est pas le fait de rêver qui le perturbait mais c’est de sentir qu’il perdait le contrôle qui l’apeurait. Ses yeux effarés cherchaient refuge mais nulle part où échapper à l’évidence.
Il regarda autour de lui, personne aux alentours. Seul lui et le mystère de la nuit. Seul face à la peur ! La peur ? Il ne connaissait pas ce mot ! Que pouvait-il bien signifier ? Et puis la peur de quoi ? De l’inconnu ? De l’impalpable ? De l’étrange !
Il rebroussa chemin jusqu’à son antre. Il ouvrit la porte du garage. Il suffoquait. Il était en état de manque. Il avait besoin de les voir. Besoin de voir la mort. De se protéger avec. C’était son ultime chance de s’en remettre. Il regarda les corps attachés au plafond et…
Tous les corps se ressemblaient, c’était la même silhouette, le même visage !!! Celui de la petite fille du cimetière. Il tremblait. Il frémissait. Il était en sueur. Il commença à avancer d’un pas lourd vers l’un des cadavres et en voulant l’atteindre, c’était le même effet hologramme. Mais cette fois le corps réapparut sous sa forme originelle.
Il recula d’un pas, submergé par un sentiment de terreur. Il senti son sang se geler dans ses veines. Son cœur virevoltait, ses dents claquaient. La folie plus que l’envie pris le dessus sur sa raison. Il commençait à voir la fille du cimetière partout autour de lui, elle s’était dupliquée ! Ses clones étaient des dizaines, ils remplissaient son garage et n’arrêtaient pas de se dédoubler. Il frissonnait, ses poils se redressèrent comme si un vent glacial envahissait les lieux. Peur de ne rien savoir ! Peur de ne rien voir ! Peur de croire !
Il ferma les yeux. « Pourvu que ça disparaisse ! Pourvu que ça cesse ! ». Et en les rouvrant, il vit sa collection de tableaux telle qu’il l’aimait, telle qu’il la voulait !

bien joué, une histoire très interressante.
désolé je ne peux rien te dire d'autre car elle est inachevée.

tres bien,c une bonne histoire ma chere deadgirlhating

je pense personnellement que cette fille ou bien c'est la mort elle même ou bien c'est la vérité qu'il craint tant.

oui,je pense aussi que cette fille est la mort pour qu'il sache ce que ressente ces victimes lorsqu'il les tue.

deadgirlhating a écrit:

Chapitre 1 : Introduction au cauchemar
il lui avait enlevé les yeux "les yeux sont mes ennemis ils ne font que montrer la vérité et la vérité n’existe pas !"

deadgirlhating a écrit:

quand il s'approcha d'elle, il remarqua que son regard était vide

je pense qu'il est effrayé par le fait qu'il a fixé son regard sur le cien qui est vide et profond, il a vu ses yeux,les yeux qui sont ses ennemis, qui sont les révélateurs de la vérité.

alors DEADGIRL tu te fais désirer ou quoi? c'est pour quand la suite de ton histoire?

votre pire cauchemar a écrit:

je pense qu'il est effrayé par le fait qu'il a fixé son regard sur le cien qui est vide et profond, il a vu ses yeux,les yeux qui sont ses ennemis, qui sont les révélateurs de la vérité.

Bonne interpretation, mais il lui manque juste un truc, tu le trouveras tout seul je pense.

votre pire cauchemar a écrit:

alors DEADGIRL tu te fais désirer ou quoi? c'est pour quand la suite de ton histoire?

Oui chef ça vient ça vient

Il passa devant les cadavres un par un, comme pour se convaincre que c’est fini ! Il les examina tous et pour rassasier une envie soudaine, il les fit descendre un par un, ses mains touchèrent la chaire brûlée qui se détachait à chaque fois et qui lui procurait un plaisir malsain. Il s’extasiait de l’odeur nauséabonde qui émanait des cadavres. Il leur extirpa les tripes, enroula leurs viscères autour de leurs têtes. « Comme ça c’est plus beau ! Petites filles, petites filles, vous n’auriez pas du sortir la nuit. Mais vous l’avez fait et heureusement pour moi ! ». Il se sentait vivant, jouissant de tout son pouvoir, il avait l’impression d’être le maître, d’être l’incomparable artiste qui avait le pouvoir d’ôter la vie. Il regagna son lit satisfait. Il n’avait plus peur de rien. Il se sentait invulnérable.



-Chapitre-2- Et ça recommence-
Ce ne fut guère difficile pour lui de se rendormir, maintenant que rien ne pouvait l’atteindre. Une voix lointaine lui parvint au milieu de la nuit « Réveille toi ! » C’était une voix féminine, elle ne criait pas, c’était proche du chuchotement, mais il sursauta!
Il n’était pas sûr que ce qu’il avait entendu était réel, il n’était même pas sûr d’être réveillé !
Il balaya la chambre du regard. Mais que cherchait-il ? Qu’espérait-il trouver ? LA chambre était vide, totalement vide, rien que lui, rien que sa peur, rien que son âme qui cherchait refuge. Une âme ! EN avait-il vraiment ? Est-ce une âme qui remplis son corps ?
Il sauta de son lit tel un fauve affolé. Il alla à la salle de bain pour se regarder dans la glace. Il s’approcha du miroir mais il ne se voyait pas. C’était la fille du cimetière ! « Le cimetière ! Oui c’est de là que ça a commencé ! C’est là que ça finira ! ». Il en était persuadé ! Il partit avec une seule conviction « c’est presque fini ».
Il pris sa veste et sortit de la maison, les pieds nus, rien que des chaussettes. Il courut vers sa voiture comme s’il était traqué par quelqu'un qui le terrorisait. « J’y vais, je la trouve et après…. » Il se bloqua. Après ! Oui que se passerait-il après ? « JE la trouve ! L’important c’est que je la trouve ! » Il n’avait aucune idée de se qui se passerait après mais il avait la certitude que ça allait presque finir.
Arrivé devant le cimetière, il eut une impression qui lui glaça le sang. Il vit la tombe du vieil homme de 82 ans. Tout était intact ! Pas une seule trace de récente exhumation !
Il avança, hésitant à chaque pas. IL s’accroupi près de la tombe puis commença à scruter les alentours cherchant LA FILLE ! Il vit, à côté, une tombe double, cirieux, il alla pour lire ce qui était inscrit sur la pierre tombale. « Benjamin et son épouse Laura, 1976-2006, 1980-2006, Que dieu les garde et leur offre sa miséricorde ! » Ils étaient morts le même jour ! « Unis pour le meilleur et pour le pire jusqu’à ce que la mort vous sépare ! », c’était la jeune fille ! Encore elle ! Toujours elle ! Elle était derrière lui, il se retourna brusquement mais il n’y avait personne.
La peur! La terrer! L'horreur! Ce sentiment en plus de l'effrayer commençait à lui plaire. Il sentit quelque chose près de lui, c'était elle! Inexistante et omniprésente! Avec ses yeux si vides si ceux!
Il voulut la toucher mais s'en retint. « Elle disparaîtra si je le fais ! ». Elle en détourna le regard et le posa sur la tombe : « Quelle est la chose que vous regrettez de la vie ? », puis elle se leva, même air sérieux que la première fois : « Je ne sais pas pour ma femme, mais moi, je regrette de ne pas avoir vécu asses longtemps pour être avec elle. Pour partager ma vie avec elle. Pour me disputer avec elle. Pour regretter de l’avoir épouser. Pour connaître le bonheur et le malheur avec elle ! » Puis elle eut l’air plus vive, moins rude et plus tendre, avec cette lueur dans ses yeux qu’il ne lui connaissait pas « Je suis totalement d’accord avec mon mari, et je regrette de ne pas vivre asses longtemps pour me rendre compte de ses défauts que l’amour m’empêchait de voir et de dire que ce n’est pas l’homme que je pensais aimer ». Puis elle eut un rire bref et son visage se raidit, son expression se figea et elle disparut. Elle le laissa seul ! Encore une fois seule ! Horriblement seul ! Il ne ressentait pas de la peur, il était en manque, il fallait impérativement qu’il se trouve une nouvelle victime ! Ce n’était plus une envie, mais une nécessité ! Il en dépendait ! Il courut pour ne plus entendre LA VOIX ! Cette voix qui lui répétait « Réveille-toi ». Il courut tout droit en sachant parfaitement où il allait. Le parc. Une fille le traversait, elle paraissait pressée, Il la suivi, plus elle s’en rendait compte, plus elle accélérait le pas, et plus ça l’excitait. Il la rattrapa sans problème, elle criait et ça le plaisait d’avantage. Il l’entraîna dans la cabane abandonnée, où il mettait toujours ses victimes avant de commencer son œuvre. Il l’attacha à une chaise.
« - Lâchez moi ! Criait-elle.
- Chut ! Tu vas réveiller les gentils gens qui dorment !
- Aidez moi ! Quelqu’un !!! »
Elle se remuait dans tout les sens. Elle ne cessait de crier à l’aide. « Ça commence à devenir lourd ! » grogna-t-il en lui lançant une bouteille de verre vide sur la tête. Elle se tut, non pas parce qu’elle eut peur, mais parce que le choc était bien trop violent. Du sang lui coula sur le front « Non non ! Pas maintenant ! » IL prit un torchon et commença é l’essuyer « Pas maintenant ! ».

Je suis passer il y as quels jour pour pouvoir lire tout cela d un coup sans être couper
Alors je ne dirais qu une chose tu es très douer pour écrit se genre d'histoire
Continue j'adore ;-)

Merci, la suite c'est pour encore quelques jours, en fait j'y refléchis encore

Oki merci et bien vivement alors

- Chapitre 3- (le dernier)

Il était affalé sur le sol, ses mains couvertes de sang tenaient sa tête.
Il pleurait, il essayait de se rappeler d’elle. Son visage !!! Il voulait revoir son visage.
Il eut un moment d’absence où il retourna en arrière, à 10 ans. « Je suis désolé Marissa ! Je te jure que j’ai essayé. » Il pleurait encore, puis releva sa tête et regarda la fille qu’il venait de massacrer, ce gros tas de chaire et d’os pouvait être pris pour n’importe quoi sauf pour un être humain. « Quel gâchis ! Je dois faire le ménage maintenant. »

Il rentra chez lui, il avait encore une fois tué, mais quelque chose avait changé. Il ne ressentait plus cette satisfaction qu’il ressentait à chaque fois qu’il arrivait au terme de son labeur « Pourquoi ? » cette voix chuchotante ressurgit encore. Il voulait la revoir, se rappeler son visage, c’était sa première, oui la première. Il voulait s’en rappeler mais il ne put y arriver « Marissa » il descendit à son garage. Une forte odeur nauséabonde lui parvint avant même qu’il n’ouvre la porte. Etrange ! Il n’avait jamais remarqué que les corps empestaient autant !! « Pourquoi ? » encore cette voix qui le hante encore cette voix qui l’obsède.
Il se bouchait les oreilles, mais rien à faire, cette voix était dans sa tête. Il avait mal, il souffrait de tous ses membres. Il fallait qu’il la voie. Il se rua entre ses tableaux pour ne trouver qu’un ! Un seul cadavre l’intéressait, et il le retrouva. Elle était là, comme il l’avait laissée. Une citrouille carbonisée, la langue pendante sur le front. « Marissa » Il pleura ! Elle était la première, elle devait être la dernière. C’était sa promesse, c’était leur accord. « Pourquoi ? » Cette voix, des cris, des pleurs, des supplications… « Arrêtez !!! » Mais ça ne finissait pas, ça ne pouvait pas finir. Il avait de plus en plus mal, il se sentait de plus en plus faible. La fille du cimetière était là. Elle était près de lui, accroupie, elle lui dit « Allonge-toi ! » Sans en être conscient, il fit ce qu’elle l’ordonna de faire.
« Pourquoi ? » et sans attendre la réponse, elle ajouta « Pourquoi as-tu voulu jouer ?» Il la regardait, ne savait quoi penser ni quoi répondre. « Réponds-moi ! » Elle versa une larme, en fait c’était une goûte de sang. « Tu n’es pas gentil » elle pleurait, deux filets rouges se dessinèrent sur ses joues de petite fille. Il murmura quelques mots, et elle cria tellement fort qu’il crut en avoir les tympans explosés. « Je n’entends rien !!! » Elle rabaissa ses yeux sur lui, tint ses mains dans les siennes et dit plus calmement :
- Dis moi pourquoi ?
- Qui es tu ?
Elle eut un petit rire bref, tellement enfantin :
- Tu ne te rappelles plus de moi ?
- Qui es tu ?
- Tu ne te rappelles vraiment plus de nôtre jeux ? Les règles étaient les règles, tu as triché ! Comme toujours !
- Je …tu ne peux pas …
- Quoi ? Tu vas me dire que tu as essayé ? Je ne te crois pas, elles m’ont tout raconté.
Elle se leva, il voulu en faire de même mais elle grogna « Reste là ! » Elle s’approcha du cadavre « Oui c’est beau ! Tu as réussi ! Mais tu devais t’arrêter là. » Elle avança vers d’autres corps. « Tu vois, cette fille s’appelait Hélène, elle avait deux chats à la maison, et toi tu l’as tuée. Celle-ci s’appelait Alice, son père lui avait offert un téléphone, et toi tu l’as tuée. Tu vois celle là-bas ? Elle avait une petite sœur, elle devait toujours l’accompagner à l’école, et toi tu l’as tuée. Combien ? Un … Deux … Trois … » elle comptait les cadavres en passant devant. « Trente-six ? Où sont les autres ? J’en ai rencontré plus de cinquante là où j’étais ! »
Il s’assit, la regardant. Finalement c’était elle ! Voici donc ce visage qu’il voulait voir !
- Elles ne sont pas toutes là.
- Pourquoi ?
- Elles ne méritaient pas toutes d’être là.
- Aucune n’aurait du être là.
- Je n’ai pas réussi. Tu avais raison. Je n’aurais pas du accepter.
- Je te l’avais dis. Tu ne m’avais pas écoutée.

Elle revint près de lui. S’assit et le regarda.
- Qu’est ce que je dois faire maintenant ?
- Oh, toi tu ne vas rien faire ! Tu en as assez fais !
- Marissa ce n’était pas de ma faute. Tu devais être la seule mais elles ne m’ont pas laissé tranquille ! Elles n’arrêtaient pas de m’appeler.
- Elles m’ont tout dit, tu ne les connaissais pas. Elles ne faisaient que passer dans le parc.
- La nuit ! Elles étaient dans le parc la nuit.
- ça ne change rien !
- Des petites filles.
- Moi aussi.
- C’était différent avec toi.
- On devait y jouer tous les deux et rien que nous deux.
- On avait dix ans !
- Je les ai toujours, mais toi …
- Je sais.
- Tu n’aurais pas du faire ça, maintenant tu dois payer.
- Marissa je n’y pouvais rien ! Ce n’était pas moi !
- Alors qui ?
Il ne répondit pas. Il ne savait pas. Il se retourna pour voir les cadavres. Elles étaient toutes là, mais il ne les avait pas tué. Cette odeur qui empestait ! Ces cris, ces pleurs ! Il ne se souvient de rien. Juste ces cris, juste ces larmes.
Elle commença à rire, ce n’était plus ce rire innocent d’un enfant, c’était le genre de rire à vous glacer le sang.
Ils avaient joué à ce jeu tous petits, il devait accepter avant de savoir. Ce n’était qu’un enfant, comment pouvait-il savoir ? Le but du jeu était de tuer, de transformer et d’oublier. Le premier qui tuait l’autre devait en faire quelque chose de beau, puis oublier et vivre comme si ne rien s’était passé.
C’était lui qui avait tué Marissa 18 ans avant, mais toutes les autres ? Qui les avait tuées ? Il ne se souvenait pas l’avoir fait.
Quelque chose le tracassait. Il se souvenait de ce que disaient les victimes avant de mourir, comment elles criaient. Mais il ne savait pas s’il les avait vraiment tuées.
Marissa commença à tourner autour des cadavres, puis s’arrêta « Levez-vous ». Sur ces mots, toutes les citrouilles brûlées se réveillèrent d’un mouvement machinal, elles tinrent toutes leurs têtes et se les arrachèrent à fin de se laisser tomber au sol. Elles avancèrent au rythme des pas de Marissa. Il avait peur. Plus que peur, il était terrifié. Les filles, ou ce qu’il en restait, remettaient leurs têtes au fur et à mesure qu’elles avancèrent. Les grandes orbites noires qui étaient à la place de leurs yeux paraissaient si profondes, si creuses, si vides. Il recula jusqu’à ce qu’il heurtât le mur. Il se retourna, il n’y avait plus d’issues. Plus de cris, ni de pleurs, il ne restait plus que le rire de Marissa.
Ces corps en décomposition, se saisirent de quelques outils se trouvant dans le garage et commencèrent à le frapper avec. Il criait « Marissa ce n’était pas moi ! Je ne les ai pas tuées !! ». Elle eut un sourire dément au coin des lèvres et murmura en regardant ce spectacle qu’elle trouvait attrayant « Je le sais. Je le sais. Bien sûr que ce n’est pas toi, c’est le travail d’un géni … ce que tu n’es pas … alors que moi… » Elle fut prise d’un fou rire et commença à applaudir.




Devant la porte d’une maison, deux enfants riaient. La petite fille s’approcha de l’oreille du garçon et lui chuchota « Tu veux jouer à un nouveau jeux ? ».

Que dire a part que plus je lie et plus je te trouve vraiment douer

Merci ma Lys, toujours au rendez-vous,
Malheureusement je ne vais plus écrire de nouvelles, car je vais me consacrer à mon vrai travail, j'ai un roman à préparer que je vais publier et il me reste encore du boulot à faire.
MErci à tous ceux qui ont pris le temps de lire mes histoires et vous entendrez prochainement parler de moi.

Oublie pas de nous le dire quand il sortiras
Pour que je puisse aller l acheter

lol ben tu n'auras pas à l'acheter je te ferai un cadeau

cette histoire est tres bien deadgirlhating

j'attends ac impatience ton roman et je serai parmi les premiers qui l'achetrons

Merci à tous pour vos encouragements.

whaouuuuuuuuuuu!!! epoustouflant que dire de plus, épatant, certe ténébreux mais extrêmement captivant je l'ai dévoré d'un seul coup ma chère deadgirl... stp quand ton livre sera publié fais moi un signe je vais me le procurer coute que coute tu as vraiment du style et j'apprécie bien ça alors stp continue à écrire et si un jour tu auras une petite idée un petit bout de pensée stp fais nous partager ça... bonne continuation chère artiste lol et comme je le dis tjs SOYONS TOUS MAUDITS.sombres salutations.

Oups désolée suis passer a coter O_O et bien merci cela seras un magnifique cadeau :$

Merciii bcp,

je suis toute chose avec tous ses commentaires.
j'éspère seulement faire une belle impression avec ce qui vient en cours!!

JE suis sure que oui vue ton talent